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théâtre | marionnette | Jeune Public

Le Voyage de Gulliver

Valérie Lesort / Christian Hecq

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Tout public dès 7 ans !

Le Voyage de Gulliver de Jonathan Swift, adapté par Valérie Lesort et mis en scène avec Christian Hecq, raconte les aventures de Gulliver qui, après un naufrage, s’échoue sur l’île de Lilliput. Il est assailli par des êtres minuscules et l’Empereur veut exécuter cette effrayante créature alors que l’impératrice estime qu’un géant pourrait être très utile. En effet, les lilliputiens sont en guerre avec leurs voisins car ils ne sont pas d’accord sur la façon d’ouvrir un œuf à la coque : par le gros bout ou le petit bout ?

Cette histoire est magistralement incarnée par de petites marionnettes hybrides, intégrant les visages de comédiens en chair et en os. Manipulations d’objets, inventivité scénographique, illusions visuelles, musiques et chansons originales ponctuent ce spectacle jubilatoire qui évoque le refus de la différence, l’agitation des hommes et la versatilité des puissants. Fantastique et pour tout public !

La presse en parle

« On rit, on est ému, on ne comprend pas les mystères de la fabrication, de l’animation, mais on est saisi, ému, par le jeu d’une dizaine d’interprètes engagés qui, chacun, donne une couleur particulière au « personnage », et le leste de ses leçons. Un spectacle exceptionnel. » Armelle Héliot – Le journal d’Armelle Héliot

« L’effet est génial, la pièce d’une drôlerie grinçante et enfantine. Encore un succès ! » Sylvain Merle – Le Parisien

« Entre l'enchantement du décor et des marionnettes, la richesse de la bande-son, l'humour des dialogues et le traitement subtil du propos (sur la folie du pouvoir), Lesort et Hecq signent un nouveau sans-faute. Les spectateurs de 7 à 77 ans trépignent aux saluts. Ensorcelés par ce réjouissant voyage, ils sont presque ébaubis de découvrir les acteurs hybrides à leur vraie taille. Small is big, small is beautiful ! » Philippe Chevilley – Les Echos

« Valérie Lesort prend ses aises avec Swift. Personne ne lui reprochera, loin de là. Son style cultive une simplicité qui sied à la satire et s’adresse à tous. La liberté, la différence, le pouvoir, la justice : toutes ces questions sont posées à travers le spectacle sans jamais peser tant la manière est légère, inventive, joueuse. Le plateau tout entier apparaît comme un castelet avec un fond noir où naissent des images à la beauté poétique et décalée. La marque de fabrique du duo Lesort/Hecq. » Brigitte Salino – Le Monde